La majorité des cambrioleurs passe par la porte d’entrée pour commettre leurs méfaits. En effet, pour réduire les risques de cambriolage dans son habitation, il faut d’abord renforcer sa porte d’entrer par un blindage. Encore, faut-il que le blindage de la porte et son installation respecte certaines règles de l’art ? Pour tout savoir, voici quelques recommandations pour guider le choix des futurs acquéreurs de portes blindées.
Des normes et des certifications
Pour cambrioler dans une habitation, les cambrioleurs utilisent des outils classiques. Plus vous renforcer la résistance à la fracturation manuelle, plus la tentative de cambriolage aura des chances d’avorter. Ainsi, la serrure des portes blindées doivent être suffisamment sophistiquées pour pouvoir résister aux outils d’ouverture les plus traditionnels. De plus, les serrures de portes blindées existent sous différentes performances. Le bloc porte blindé est également standardisé avec 4 niveaux de résistance: porte vitrée, BP1, BP2 et BP3.
Les solutions de blindage de porte
L’encadrement métallique encastré dans la maçonnerie est l’un des paramètres clés du blindage d’une porte. Il est tout à fait possible de placer des tôles métalliques sur une porte en matériau quelconque pour la blinder. A savoir qu’il ne faut pas non plus oublier l’esthétisme de l’ensemble constitué parla prote qui est généralement en bois et par les éléments de blindage. La porte blindée a également d’autres fonctions comme assurer une bonne isolation thermique et acoustique et être une barrière anti-incendie qui résiste au feu pendant une bonne dizaine de minutes. Bref, le blindage d’une porte revient de un à plusieurs milliers d’euros, pièces et main d’œuvre tout compris. De préférence, confiez son installation par un professionnel chevronné.